Un ovale net, un cou bien cintré et des pommettes hautes sur un visage naturel et détendu… Le visage est la première image que l’on renvoie de soi.
Même affable et souriant, les affres du temps et les modes de vie délétères le marquent irrémédiablement. Certes il existe de « beaux vieillards » mais un aspect plus jeune et dynamique intègre mieux dans la société et pousse à un mode de vie plus actif source de « mieux vieillir » et bien-être.
Le vieillissement peut-être responsable d’une perte de l'ovale du visage, d’un empâtement du cou avec apparition de fanons, d’une perte du relief des pommettes et d’un épaississement des bourrelets naso-géniens entre le nez et les joues. Le front se ride et les sourcils s'abaissent. La peau se fripe. Une partie de ces modifications semble liée à l’hypertonie musculaire (cernes, rides frontales, fanons). L’hypertonie musculaire est peut-être en rapport avec la pesanteur.
Selon l’étage facial à corriger on décrit plusieurs liftings :
Ces liftings peuvent bien sûr être associés réalisant ainsi un lifting étendu cervico-temporal par exemple.
Le geste de lifting consiste en une résection de l'excédent cutané mais surtout en un repositionnement des tissus graisseux et musculaires affaissés. Les incisions sont autour de l’oreille, à la limite des lignes d’implantation des cheveux ou dans le cuir chevelu. Le geste initial pour le lifting cervico-facial ou temporal est toujours un décollement sous-cutané plus ou moins étendu. La mise en tension du SMAS par plicature ou décollement permet la correction de l’ovale. Les cicatrices sont habituellement discrètes, dissimulées dans les oreilles et les cheveux. L'hospitalisation est de 12 à 24 heures.
Différents gestes chirurgicaux complémentaires peuvent être associés tels le « resurfacing » cutané par peelings moyen ou profond, les blépharoplasties inférieures ou supérieures pour les plis et poches des paupières et la lipostructure (injection de graisse autologue) pour redonner du volume aux cernes et aux pommettes. Les gestes de médecine esthétique tels les comblements de rides à l’acide hyaluronique et le lissage du front par la toxine botulinique (Botox, Vistabel°, Azzalure°) peuvent également être proposés à distance.
Les douleurs post-opératoires sont modérées et variables selon le type du lifting. Dans certaines techniques de lifting cervico-facial (MACS Lift) une gêne à l’ouverture buccale est habituelle quelques jours. Le visage apparaît plus ou moins gonflé et insensible selon le geste réalisé et les susceptibilités individuelles. Les ecchymoses, fréquentes au niveau du cou, disparaissent en 2 à 3 semaines. Les cicatrices au niveau des oreilles sont rosées les premières semaines mais blanchissent rapidement pour devenir extrêmement discrètes. Les liftings temporaux sont parfois suivis d’une parésie frontale transitoire (trouble de la mobilité du front uni ou bilatéral).
Ces suites opératoires, parfois marquées, demandent un peu de patience mais le résultat 2 à 3 mois plus tard est toujours gratifiant, voir spectaculaire.
Hormis les complications classiques et rares de tout acte chirurgical (accidents anesthésiques, hématomes, infection, problèmes de cicatrisation) il existe peu de problèmes spécifiques aux liftings. Le geste chirurgical, pour être efficace, doit-être relativement profond, à proximité des nerfs moteurs du visage. Rarement une diminution de la mobilité partielle et transitoire, peut être notée.
Les liftings centro-faciaux, délicats, peuvent parfois se compliquer d’une traction sur les paupières inférieures responsable d’un aspect d’œil rond voir d’ectropion.
Le lifting, comme son nom anglais le signifie, permet de remonter des tissus affaissés. Il peut intéresser différents étages du visage : l’ovale et le cou, les pommettes et les sillons naso-géniens, les tempes et les sourcils. Il est donc important de bien définir quelles parties du visage doivent être corrigées afin de déterminer le type de lifting(s) à réaliser (lifting cervico-facial, lifting centro-facial, lifting temporal…).
L’intervention la plus classique est le lifting cervico-facial qui permet de corriger le cou (fanons) et l’ovale (bajoues). Elle est, en ce qui nous concerne, réalisée le plus souvent sous anesthésie locale. Les décollements doivent être limités mais suffisants à l’obtention d’une correction satisfaisante. Les tractions s’appliquent sur le SMAS (système musculo-aponévrotique superficiel), profond, et non sur la peau, sur un axe essentiellement vertical.
La remise en tension verticale et sans traction sur la peau permet d’obtenir des résultats naturels avec des cicatrices extrêmement discrètes.
Bien entendu les liftings sont fréquemment associés à une chirurgie des paupières (blépharoplasties). Lipostructure (injection de graisse autologue) et peelings peuvent aussi compléter cette intervention.
Dans les suites de l’intervention sont proposés :
Nous utilisons maintenant depuis 3 ans cette technique de lifting qui permet de traiter l’ovale du visage mais également les pommettes et les tempes dans sa forme étendue.
Cette technique a été développée par deux chirurgiens de Gand en Belgique, Patrick TONNARD et Alexis VERPAELE.
Les principaux intérêts résident dans des cicatrices courtes, une technique de suspensions verticales des tissus profonds et des décollements cutanés limités.
En effet la cicatrice ne remonte pas forcément en arrière de l’oreille vers la région occipitale comme dans les liftings classiques.
Le décollement est limité ce qui, dans la technique dédiée à l’ovale du visage, permet des suites opératoires courtes et une reprise rapide d’activité.Lire La Suite
(Minimal Access Cranial Suspension)
Il s’agit d’une technique de lifting du visage développée par deux chirurgiens de Gand en Belgique, Patrick TONNARD et Alexis VERPAELE.
Cette technique a été développée par deux chirurgiens de Gand en Belgique, Patrick TONNARD et Alexis VERPAELE.
Les principaux intérêts résident dans des cicatrices courtes, une technique de suspensions verticales des tissus profonds et des décollements cutanés limités.
Les principaux intérêts résident dans la longueur des cicatrices, la technique de suspension verticale des tissus profonds et les décollements cutanés limités. La cicatrice est relativement courte puisqu’elle ne remonte pas derrière l’oreille pour redescendre à la limite des cheveux du cou comme dans les incisions classiques.
Le décollement, pour le bas de visage, est limité à 5 cm autour de l’oreille. Les suites opératoires en sont d’autant plus simples.
Le repositionnement des plans profonds (SMAS) se fait par deux à trois suspensions verticales. La technique originale de suspension dépourvue de risques pour le nerf facial (ce qui n’est pas le cas de toutes les techniques), consiste en un faufilage qui lors de la traction crée une structure en millefeuilles.Lire La Suite
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